



[...] Chaque fois, je me sens balancé entre l'onirisme et la réalité. Je crois que cette ville tente de nous parler dans un langage débridé et incohérent avec cette pollution visuelle schizoïde. Je ne peux m'empêcher de voir des gens en manque de repères, cherchant un chemin quelconque.
Tout ça, je crois, influence profondément les rapports que les gens entretiennent entre eux. Ironiquement, les gens ont l'air d'éprouver une certaine solitude.

































